(...)
Car j'y veux, puisque enfin ma cervelle, vidée
Comme le pot de fard gisant au pied d'un mur,
N'a plus l'art d'attifer la sanglotante idée,
Lugubrement bâiller vers un trépas obscur...
(...)

Stéphane Mallarmé (L'Azur)

Le poème complet

Tristesse d'été

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